COMORES 4 ILES

COMORES 4 ILES

vendredi 29 janvier 2010

COMPLICITE DES COMORES AU GENOCIDE MAHORAIS

Lors de son passage éclair à Mayotte le 18 janvier 10, le président Français s’est réjoui des moyens alloués à la police française pour expulser de Mayotte (île internationalement et comoriennement faisant partie des Comores) les comoriens non mahorais de Mayotte :
« Depuis 2002, j’ai tout fait pour vous aider. Je vous avais promis un hélicoptère, il est là. Je vous avais promis un troisième radar, il est opérationnel et nous allons en installer un quatrième pour couvrir toute l’île dès cette année. Les effectifs de la police ont été multipliés par douze depuis 2002. Grâce à ces nouveaux moyens, un travail remarquable a été engagé, 20 000 étrangers en situation irrégulière ont été éloignés en 2009, c’est cinq fois plus que c’est qu’on faisait en 2002 », déclara le raïs de l’Elysée, sous un silence admiratif des autorités comoriennes.
Parmi ces 20 000 expulsés, combien ont laissé leur vie dans le bras de mer séparant Mayotte d’Anjouan en voulant faire le « voyage retour » dans des sarcophages appelés kwassa kwassa ? Pour le président Sarkozy, il y a eu au moins quatre naufrages : «
Quatre naufrages en 2009 et encore, ne comptons pas ceux qui ont disparu sans que personne ne les remarque » insista le chef d’Etat français.

Plusieurs témoignages concordants, montrent que les passagers de ces cercueils maritimes sont majoritairement les comoriens refoulés de Mayotte par l’administration française. Par conséquent en refusant d’accueillir ces pseudos clandestins, les Comores épargneront plusieurs vies humaines. Si le gouvernement comorien n’avait pas levé la mesure gouvernementale (1) qui interdisait l'expulsion à Mayotte des ressortissants comoriens des autres îles, les six enfants de Madame Z, ne seraient pas orphelins et livrés à eux-mêmes aujourd’hui. Selon le journal UPANGA n°15 du 15 janvier 10, après son expulsion hâtive, Madame Z a voulu rejoindre Mayotte en kwassa où l’attendait le reste de sa famille. Elle fait partie des 21 victimes du dernier naufrage.
On estime à plusieurs centaines des enfants comme ceux de Mme Z, en très grandes difficultés, livrés à eux-mêmes. Ils sont contraints parfois de se prostituer pour survivre.
Faut-il une nouvelle loi pour refuser ces pseudos clandestins ?
Dans la constitution comorienne et en droit international Mayotte est une île comorienne. Il faut juste un peu de courage et de patriotisme pour dire « Non, nous ne les accueillons pas en tant que clandestins »
Si les prétendants défenseurs de la constitution comorienne étaient honnêtes, ils se seraient saisis de l'anticonstitutionnalité de l’argument gouvernemental (1) pour faire « tomber » le président Sambi et son gouvernement. Mais cela n’arrivera jamais car la force de nuisance de l’opposition comorienne est plutôt destinée à déstabiliser le pays pour le maintenir dans une misère chronique, transformant ainsi l’île comorienne de Mayotte à un faux paradis.

La question que beaucoup se pose : Quel est le prix de vente « du viol de la constitution comorienne » par les autorités comoriennes, pour transformer un comorien non mahorais de Mayotte en un étranger à Mayotte ?

(1) M. Jaffar Ben Said Ahmed avait declaré dans le journal[a=http://www.alwatwan.net/pdf/13102009.pdf] al-watwan [/a] ''Si nous avons suspendu cette mesure, ce que les intérêts de l'Etat étaient, à un moment donné, gravement compromis''

Baraka Mouhiddine de l’Equipe wongo
Source : http://wongo.skyrock.com/

2 commentaires:

Akile-djaech a dit…

Effectivement, c'est honteux de se dire qu'on est indépendant, alors qu'on est incapable de subvenir à nos besoins vitaux.

Il était trop tôt de réclamer l'indépendance,et de crier haut et fort Mkolo na lawé.

Mayotte était bien conscient quand il a dit non à l'indépendance, il savait qu'il était pauvre et qu'il n'était pas prête à prendre des responsabilités pour garantir la survie de tout un peuple.

Aujourd'hui, il ne s'agit pas de dire que les comoriens immigrés à Mayotte sont chez eux, non ils sont dans un territoire français pour l'instant qu'on le veuille ou non.

Maintenant le devoir appartient à l'État comorien de prendre le défi, trouver des moyens pour garantir la survie de ses concitoyens.

Or l'État comorien tout ce qu'il arrive à faire c'est de tendre la main,aucune organisation, ni planification pour se dire que peut être dans cinq ans les Comores seront ceci ou cela.

C'est la honte, et pourtant les Comores sont dotés de ressources naturelles comme tous les pays du monde (agriculture, pêche etc), seulement les présidents qui nous gouvernent sont incompétent osons se l'avouer haut et fort.

Les Comores n'exportent rien du tout alors que tout se vend à l'extérieur (bananes, ananas, papaye etc.

Aujourd'hui l'économie chinoise et hindou est basée sur ces ressource, les Comores cherchent l'argent facile sans aucune souffrance, or cet argent là pue parfois, donc c'est à vous de réfléchir.

Encadrez vos enfants, retenez les sur le sol en leur accordant du travail, dites leur que le sol peut nourrir un peuple et ça le français l'a compris.

C'est plutôt les comoriens qui sont bêtes et qui ne veulent rien faire de leur mains.

Bande de mendiants va (revoir les Antilles hier avec les cannes à sucre aujourd'hui avec les bananes plantains, se ne sont pas les Antillais qui garantissent la productions mais les Français.

Salue bo malaba.

Akile-djaech a dit…

Effectivement, c'est honteux de se dire qu'on est indépendant, alors qu'on est incapable de subvenir à nos besoins vitaux.

Il était trop tôt de réclamer l'indépendance,et de crier haut et fort Mkolo na lawé.

Mayotte était bien conscient quand il a dit non à l'indépendance, il savait qu'il était pauvre et qu'il n'était pas prête à prendre des responsabilités pour garantir la survie de tout un peuple.

Aujourd'hui, il ne s'agit pas de dire que les comoriens immigrés à Mayotte sont chez eux, non ils sont dans un territoire français pour l'instant qu'on le veuille ou non.

Maintenant le devoir appartient à l'État comorien de prendre le défi, trouver des moyens pour garantir la survie de ses concitoyens.

Or l'État comorien tout ce qu'il arrive à faire c'est de tendre la main,aucune organisation, ni planification pour se dire que peut être dans cinq ans les Comores seront ceci ou cela.

C'est la honte, et pourtant les Comores sont dotés de ressources naturelles comme tous les pays du monde (agriculture, pêche etc), seulement les présidents qui nous gouvernent sont incompétent osons se l'avouer haut et fort.

Les Comores n'exportent rien du tout alors que tout se vend à l'extérieur (bananes, ananas, papaye etc.

Aujourd'hui l'économie chinoise et hindou est basée sur ces ressource, les Comores cherchent l'argent facile sans aucune souffrance, or cet argent là pue parfois, donc c'est à vous de réfléchir.

Encadrez vos enfants, retenez les sur le sol en leur accordant du travail, dites leur que le sol peut nourrir un peuple et ça le français l'a compris.

C'est plutôt les comoriens qui sont bêtes et qui ne veulent rien faire de leur mains.

Bande de mendiants va (revoir les Antilles hier avec les cannes à sucre aujourd'hui avec les bananes plantains, se ne sont pas les Antillais qui garantissent la productions mais les Français.

Salue bo malaba.